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AUTEURE - PAROLIÈRE , avec un répertoire de 140 chansons © Bernadette CHABERT, tous droits réservés pour tous pays; paroles de chansons déposées à l'organisme de dépôts d'écrits SNAC - 80 rue Taitbout, 75009 PARIS Paris, le 05/12/2023
Je présente les paroles que j’ai créées, que je fais connaître et les partage avec vous tous, avec plaisir!
Voici la présentation de 8 de mes CHANSONS :
VIEILLIR À DEUX de Bernadette CHABERT
Ils avancent tous deux, et main dans la main,
Comme ces deux êtres, ils sont attendrissants !
Ils sourient, l’œil larmoyant, un refrain
Sur le bout des lèvres, leurs pas, en avant.
Refrain :
Vois le sourire qu’ils ont ces deux petits vieux,
Vivant la vie plein de lueurs dans les yeux,
La vieillesse ne les atteint, les fait marcher
Car l’un contre l’autre, bien soudés, pelotés !
Car l’âge ne les atteint, ils sont merveilleux,
Le cœur à la fête, se meuvent guillerets,
Et ils se sourient, l’échine en avant ; marcher !
Vers les joies grandissantes et des jours tout bleus !
Ils nous émeuvent, avec leur dos courbé,
Ils émerveillent et donnent le beau message
Que la vie est très belle, à deux, bien soudés !
Ils marchent, les bienheureux, malgré leur âge.
Refrain
Vois le sourire qu’ils ont ces deux petits vieux,
Vivant la vie plein de lueurs dans les yeux,
La vieillesse ne les atteint, les fait marcher
Car l’un contre l’autre, bien soudés, pelotés !
Car l’âge ne les atteint, ils sont merveilleux,
Le cœur à la fête, se meuvent guillerets,
Et ils se sourient, l’échine en avant ; marcher !
Vers les joies grandissantes et des jours tout bleus !
Merveille, complicité entre ces deux !
D’un regard joliment tendre, il sait, elle voit,
Qu’ils sont doux et charmants, ces deux petits « vieux » !
Leurs années sur le dos, mais leur cœur est roi.
Refrain
Vois le sourire qu’ils ont ces deux petits vieux,
Vivant la vie plein de lueurs dans les yeux,
La vieillesse ne les atteint, les fait marcher
Car l’un contre l’autre, bien soudés, pelotés !
Car l’âge ne les atteint, ils sont merveilleux,
Le cœur à la fête, se meuvent guillerets,
Et ils se sourient, l’échine en avant ; marcher !
Vers les joies grandissantes et des jours tout bleus !
© BERNADETTE CHABERT, le 30/04/2021
SE LAISSER BERCER de Bernadette CHABERT
Se laisser bercer par l’havre de paix et l’harmonie,
Rêver du printemps et bannir tous les nuages gris,
Sentir les courants merveilleux d’un torrent enchanteur,
Dire « oui » aux couleurs enchanteresses et « non » aux noirceurs.
Refrain :
Se laisser bercer, rire puis chanter,
Être soi, bien soi, et ne pas tricher,
Vivre du merveilleux, fuir fadaises,
Vivre les mieux, et se sentir à l’aise !
Par la chanson douce, être bercé,
Puis voir les soleils enfin briller,
Ni ne crier, ne maudire, mais rire,
Mettre la joie et quitter tous les pires !
Par le chant des oiseaux qui t’émeut, se laisser bercer,
Joyeusement sur les mers et les océans, voguer,
Puis se délecter de tous les sols et de la quiétude,
Et toujours voir le mieux, et délaisser turpitudes.
Refrain :
Se laisser bercer, rire puis chanter,
Être soi, bien soi, et ne pas tricher,
Vivre du merveilleux, fuir fadaises,
Vivre les mieux, et se sentir à l’aise !
Par la chanson douce, être bercé,
Puis voir les soleils enfin briller,
Ni ne crier, ne maudire, mais rire,
Mettre la joie et quitter tous les pires !
Sourire au soleil, aux étoiles et à toutes les terres,
Se laisser bercer par des bras de mères, et ceux des pères,
Voir les beaux sentiers, les parcourir avec gaité.
Heureux comme des princes et des rois jovials, avancer.
Refrain :
Se laisser bercer, rire puis chanter,
Être soi, bien soi, et ne pas tricher,
Vivre du merveilleux, fuir fadaises,
Vivre les mieux, et se sentir à l’aise !
Par la chanson douce, être bercé,
Puis voir les soleils enfin briller,
Ni ne crier, ne maudire, mais rire,
Mettre la joie et quitter tous les pires !
© Bernadette CHABERT, le 09/07/2022
ENFIN TOUTES LES CHAÎNES LES LÂCHER… de Bernadette CHABERT
Enfin, toutes les chaînes, s’en libérer, les lâcher,
Et tous les chagrins, tous les regrets et toutes les peurs,
Puis goûter au miel serein, de la paix et du bonheur,
Et comme une plume au vent, planer et voler léger.
Refrain :
Toutes les chaînes, brise-les, et vogue !
Sur la mer-joyeuse et la mer-bonheur,
Et parsème ta vie de belles fleurs,
Oublie le chagrin, le vil et le fog !
Toutes les chaînes, tu les coupes et vis !
Sur le terrain-heureux, terrain-saveurs,
Parsème ta vie du beau, puis souris,
Et oublie problèmes, amertume et pleurs.
Enfin, casser tous les maillons de ta terne prison,
La triste prison qui enferme les cœurs ; menottons !
La prison qui nous dicte des lois, ensuite nous blesse,
Où maintes maux sont présents, l’anxiété et la tristesse !
Refrain :
Toutes les chaînes, brise-les, et vogue !
Sur la mer-joyeuse et la mer-bonheur,
Et parsème ta vie de belles fleurs,
Oublie le chagrin, le vil et le fog !
Toutes les chaînes, tu les coupes et vis !
Sur le terrain-heureux, terrain-saveurs,
Parsème ta vie du beau, puis souris,
Et oublie problèmes, amertume et pleurs.
Et débarrassons-nous de toutes entraves et puis voguons !
Vers les plus beaux horizons tout clairs, simples et libérés,
Et des horizons où juste l’amour, la paix y sont,
Des horizons allégés, purifiés de tout poison !
Refrain :
Toutes les chaînes, brise-les, et vogue !
Sur la mer-joyeuse et la mer-bonheur,
Et parsème ta vie de belles fleurs,
Oublie le chagrin, le vil et le fog !
Toutes les chaînes, tu les coupes et vis !
Sur le terrain-heureux, terrain-saveurs,
Parsème ta vie du beau, puis souris,
Et oublie problèmes, amertume et pleurs.
© Bernadette CHABERT, le 10/11/2022
JAUNE ET BLANC PUR ! de Bernadette CHABERT
Le paquet dans la poche, une fumée dans le salon,
Elle a un embout joli, et le reste, blanc pur !
Me sollicite, sans répit, blesse mes poumons,
Néfaste bâtonnet, qui me hante, et me torture !
Refrain :
Cigarette, je n’en peux plus ; mortifère !
Laisse-moi la paix, la tranquillité, pars !
Poison oublie-moi, je craque ; ma galère !
Éloigne-toi, quitte mon corps et ma sphère !
Cigarette, vas-t-en, je veux te laisser !
Tu es pénible et casse pieds, Oublie-moi,
Vas vite marcher, t’éloigner, me quitter !
Vas vivre ta nicotine loin de moi !
Je la hais, la maudis, mais l’appelle, pour l’embrasser,
S’embrase puis me nuit ; fléau de mes jours, toujours !
Je cris mon addiction ! À mes lèvres, reste collée,
Peine à m’en séparer, de la belle, de nuit, de jour !
Refrain :
Cigarette, je n’en peux plus ; mortifère !
Laisse-moi la paix, la tranquillité, pars !
Poison oublie-moi, je craque ; ma galère !
Éloigne-toi, quitte mon corps et ma sphère !
Cigarette, vas-t-en, je veux te laisser !
Tu es pénible et casse pieds, Oublie-moi,
Vas vite marcher, t’éloigner, me quitter !
Vas vivre ta nicotine loin de moi !
Elle a son cotillon jaune, et un beau corps, blanc pur,
Je le veux, je ne peux, et mon corps, est nicotine !
L’addiction, m’envahit l’esprit, me torture, et dure,
La fumée, le goudron, dans mes entrailles cheminent !
Refrain :
Cigarette, je n’en peux plus ; mortifère !
Laisse-moi la paix, la tranquillité, pars !
Poison oublie-moi, je craque ; ma galère !
Éloigne-toi, quitte mon corps et ma sphère !
Cigarette, vas-t-en, je veux te laisser !
Tu es pénible et casse pieds, Oublie-moi,
Vas vite marcher, t’éloigner, me quitter !
Vas vivre ta nicotine loin de moi !
Crie à la séparation ! La belle me harcèle,
Je ne la veux, la fuis, la hais ; elle est mon tourment !
Noire, sournoise, avance, envahit mon corps ; rebelle,
Poumons noircis, appartenance à elle, pourtant...
Refrain :
Cigarette, je n’en peux plus ; mortifère !
Laisse-moi la paix, la tranquillité, pars !
Poison oublie-moi, je craque ; ma galère !
Éloigne-toi, quitte mon corps et ma sphère !
Cigarette, vas-t-en, je veux te laisser !
Tu es pénible et casse pieds, Oublie-moi,
Vas vite marcher, t’éloigner, me quitter !
Vas vivre ta nicotine loin de moi !
© BERNADETTE CHABERT, le 03/03/2020
LE CHAOS SE DÉCHAÎNE de Bernadette CHABERT
Le chaos est immense, quand la terre frémit,
Le sombre hurle au dehors, et glace l’univers,
Le vent et la tornade ; le soleil pâlit !
Ce chaos se déchaine, ensuite tremble la terre !
Refrain :
Tremble la terre et la terreur est partout !
Éclairs, l’orage crie ; et la tempête !
Les regards noirs, plongés dans les remous,
Et puis, de multiples pensées qui entêtent !
Tremble la terre, présente toute l’horreur!
Les sols frémissent, les mers déchaînées,
La terre à nue, et les gens vivent la peur !
Et quelles gigantesques agitations sont nées.
Des coulées de boues, et le sol se fissurant,
La terre secoue, la tempête dévastatrice,
Ton regard se perd dans la nature, ses tourments,
Puis l’ouragan déchire, et tous les cieux se noircissent.
Refrain :
Tremble la terre et la terreur est partout !
Éclairs, l’orage crie ; et la tempête !
Les regards noirs, plongés dans les remous,
Et puis, de multiples pensées qui entêtent !
Tremble la terre, présente toute l’horreur!
Les sols frémissent, les mers déchaînées,
La terre à nue, et les gens vivent la peur !
Et quelles gigantesques agitations sont nées.
Petits êtres fragiles, fatigués, réfugiés
Dans un coin d’accalmie, la main secours de Dieu,
Puis petits êtres prient et appellent à toute paix
Des éléments, puis du vent, du grand Tout et des Cieux.
Refrain :
Tremble la terre et la terreur est partout !
Éclairs, l’orage crie ; et la tempête !
Les regards noirs, plongés dans les remous,
Et puis, de multiples pensées qui entêtent !
Tremble la terre, présente toute l’horreur!
Les sols frémissent, les mers déchaînées,
La terre à nue, et les gens vivent la peur !
Et quelles gigantesques agitations sont nées.
© Bernadette CHABERT, le 07/04/2022
POSITIVER C’EST ROSIR de Bernadette CHABERT
Positiver, c'est dessiner des ciels bleus, même si la tempête fait rage,
Positiver, c'est rosir les lieux, même si un orage terrible gronde,
Positiver, c'est chanter, rire, sourire, même si en toi pointe un nuage,
Positiver, c'est une voix douce à offrir, même si des soucis abondent.
Refrain :
Positiver, et te lever de ton enfer,
Positiver, ensuite le ciel sera tien !
Chanter ta vie, ton corps, rire, refaire,
Ton parcours souriant, heureux, fais de rien.
Positiver, ton moral le préserver!
Être rire, avoir un sourire et sans pareil,
Vers la joie, la paix, bien-être, te propulser !
Et toucher toutes les étoiles, et le soleil !
Positiver, c'est te parer de gaieté, même si tous les vents sont contre toi,
Positiver, c'est être fort, continuer, même si se dérobe le sol,
Positiver, c'est vivre aujourd'hui et demain, et même si la santé décroît,
Positiver, c'est agir, serein, même si tout autour de toi te désole.
Refrain
Positiver, et te lever de ton enfer,
Positiver, ensuite le ciel sera le tien !
Chanter ta vie, ton corps, rire, refaire,
Ton parcours souriant, heureux, fait de rien.
Positiver, ton moral le préserver!
Être rire, avoir un sourire et sans pareil,
Vers la joie, la paix, bien-être, te propulser !
Et toucher toutes les étoiles, et le soleil !
Positiver, c'est accepter sagesse, bonté, même si le soleil est noir,
Positiver, c'est te lever, faire, bouger, même si le monde t'indiffère,
Positiver, c'est boire, manger, rêver, même si plus de rires, de jeux, de foires,
Positiver, c'est s'émerveiller, même si la terre s'habille de misère !
Refrain :
Positiver, et te lever de ton enfer,
Positiver, ensuite le ciel sera le tien !
Chanter ta vie, ton corps, rire, refaire,
Ton parcours souriant, heureux, fait de rien.
Positiver, ton moral le préserver!
Être rire, avoir un sourire et sans pareil,
Vers la joie, la paix, bien-être, te propulser !
Et toucher toutes les étoiles, et le soleil !
© Bernadette CHABERT, le 10/11/2022
SE BATTRE, MÊME SI… de Bernadette CHABERT
Avancer, même si ton coeur est misère, ton corps est pansé,
Avancer, même si la terre s'effondre et ton ciel est cassé,
Avancer, même si ta bouche est close, ton regard bien vitreux,
Avancer, même si tout se dérobe, et tout te rend très peureux,
Refrain
Avancer, se battre, faire face,
Marcher ! Ton pouvoir ne se lasse,
Avancer, et encore avancer !
Sache ta puissance illimitée !
Faire face et vivre, progresser !
Vaillamment s’en sortir, et oser !
Et avancer puis vient le regain,
Et s’en sortir, battant, enfin !
Se battre, même si les barrages, les obstacles surgissent,
Se battre, même si tous les cieux et les sols s'anéantissent,
Se battre, même si le froid, le vent, et les éléments te peinent,
Se battre, même si des regards froids te taraudent et sont haine,
Refrain
Avancer, se battre, faire face,
Marcher ! Ton pouvoir ne se lasse,
Avancer, et encore avancer !
Sache ta puissance illimitée !
Faire face et vivre, progresser !
Vaillamment s’en sortir, et oser !
Et avancer puis vient le regain,
Et s’en sortir, battant, enfin !
Faire face, même si tes pieds sont lents, retardés, entravés,
Faire face, même si tout fuit, tout tombe, tout est dépravé,
Faire face, même si ta joie s'éteint, ta monture est rebelle,
Faire face, même si se trouve très loin l'issue du tunnel !
Refrain
Avancer, se battre, faire face,
Marcher ! Ton pouvoir ne se lasse,
Avancer, et encore avancer !
Sache ta puissance illimitée !
Faire face et vivre, progresser !
Vaillamment s’en sortir, et oser !
Et avancer puis vient le regain,
Et s’en sortir, battant, enfin !
" Et surtout, surtout, n'en doute pas... Le pouvoir créateur est en toi ! "
© BERNADETTE CHABERT, le 28/06/2020
TU ES ATTIRÉ VERS UN FLÉAU de Bernadette CHABERT
Tu es attiré vers un fléau ; fascination !
Tu cours le faire, le manger, t’y adonner,
Tu t’éloignes de tes règles, modèles ; distraction !
L’addiction reine en toi, t’habite, t’as enrôlé.
Refrain
Je cours le faire, mais grignote ma liberté,
Et je perds pieds, ensuite m’enfonce dans la nuit sombre
Que c’est difficile de faire face à ce fléau
Pourtant, qui me ronge les tripes puis me fait mille ombres !
Je cours faire et faire, mais quel immense gâchis !
Des folies dans tous mes gestes, dans mes comportements,
Je me ruine, me nuis, par mes funestes agissements,
Quelles bêtises dans ma tête, me rongent ma vie !
Elle sillonne tes vues, tes décisions, tes pensées,
Elle se faufile, assoiffée, insidieuse, et croqueuse,
Cette addiction, t’éloigne de toi, de ta santé,
Elle avance, puissamment, résolument ; voleuse !
Refrain
Je cours le faire, mais grignote ma liberté,
Et je perds pieds, ensuite m’enfonce dans la nuit sombre
Que c’est difficile de faire face à ce fléau
Pourtant, qui me ronge les tripes puis me fait mille ombres !
Je cours faire et faire, mais quel immense gâchis !
Des folies dans tous mes gestes, dans mes comportements,
Je me ruine, me nuis, par mes funestes agissements,
Quelles bêtises dans ma tête, me rongent ma vie !
Alors... jour après jour, diminue-lui ses venues,
Amoindris-la, rationne-la, dans ses appétits,
Et explique-lui bien ton souhait, de rester nu,
Nudité utile, pour réinstaller ta vie !
Refrain
Je cours le faire, mais grignote ma liberté,
Et je perds pieds, ensuite m’enfonce dans la nuit sombre
Que c’est difficile de faire face à ce fléau
Pourtant, qui me ronge les tripes puis me fait mille ombres !
Je cours faire et faire, mais quel immense gâchis !
Des folies dans tous mes gestes, dans mes comportements,
Je me ruine, me nuis, par mes funestes agissements,
Quelles bêtises dans ma tête, me rongent ma vie !
© BERNADETTE CHABERT tous droits réservés, le 02/10/2020